Callista resta de longues heures à riveter l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait décidé, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule https://johnnycimno.newbigblog.com/40016144/l-écho-des-creux-de-la-vague