Tokyo, 2052. Les néons projetaient une eclat artificielle sur les rues silencieuses. Dans un monde où la sensation du lendemain était devenue une science maîtrisée, le destin n’était plus une inconnue pour certaines personnes. Grâce à des développées en neurotechnologie, il était dès maintenant prochaine d’altérer la pressentiment des secondes, https://jeremyq260ksa3.vidublog.com/profile