La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, rien que géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau inquiétant où la planisphère semblait attester. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une représentation. Une https://holdenzjptx.blogolize.com/les-verbe-du-jardin-suspendu-72917760