Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son usage, attendait que l’obsidienne traite à nouveau. La pierre noire semblait absorber la clarté lunaire, vibrer sous la pression du vent, et dans de nombreuses situations, sans aviser, elle résonnait de https://dallastflrw.isblog.net/le-artifices-sans-ombrage-51064763