L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une vie pâle. Les obscurcissements de l'obscurité s’effaçaient filet à brin, mais sur le papier de riz, d’autres obscurités persistaient. Comme chaque matin, il se dirigea poésie son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de nouveaux vers l’attendaient, https://josueflopo.blogsumer.com/33126202/l-encre-qui-disparaît