Istanbul respirait doucement marqué par la température du Bosphore, ses collines chargées de silences antiques et de pas pressés. Dans un ateliers mystérieux entre les colonnes d’un familial caravansérail, une féminitude aveugle, nommée Elif, façonnait des mosaïques à l’aide de fragments de cristal, d’os polis, et d’ivoire récupéré. Chaque monnaie https://ricardooesfr.blogdanica.com/34028553/la-surface-et-l-ombre