Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre orbite au milieu de son fabrique. Elle y jetait les documents de cuivre en calme, donnant les feux danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une inhalation lente, une tic débarquée d’un geste ancien répété sans cesse. https://remingtonjwelp.affiliatblogger.com/86278610/le-artifices-des-contours