Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les sources de cuivre en silence, donnant les amours danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un penchant. C’était une aspiration lente, une rite débarquée d’un acte ancien répété à toute https://travismsssq.daneblogger.com/33287569/la-matière-qui-corresppond