Istanbul, 2025. Entre les ruelles étroites du quartier de Balat, au croisement des traditions byzantines et des murmures ottomans, une petite échoppe sans enseigne accueillait des invités crées. L’intérieur, saturé d’odeurs d’encres, d’encens et de encaustique chaude, abritait les moyens d’un art ancien, dissimulé marqué par l’apparence d’un aisé studio https://jolievoyance11864.develop-blog.com/41445968/les-porteurs-du-repère